Objet
: compte-rendu de
congé thématique de recherche Lundi 15
septembre 2002
Monsieur
DUTHEIL
Président de l'Université Michel de Montaigne Bordeaux 3
TALENCE
Monsieur
le Président,
Suite à
5 mois de voyage dans le cadre de mon congé thématique de recherche
(voyage raccourci par l'annulation de l'enseignement prévu à
l'Université du Québec à Montréal), je vous prie de trouver
ci-joints :
1) La
présentation des étapes de la mise en œuvre du colloque
international.
2) La
présentation de la page "Le colloque international" sur le site
www.gillet.fr.st, qui
renvoie à celui de l'IUT et de l'Université Michel de Montaigne
(Bordeaux 3).
3) Le
rappel des objectifs du colloque.
4) Les
comptes-rendus des contacts établis par pays :
enseignants-chercheurs, formateurs, animateurs et travailleurs
sociaux ou culturels de terrain, responsables, volontaires et
militants d'ONG ou d'associations, diplomates, ministres, maires et
élus, responsables de l'UNESCO ou de services dans des collectivités
territoriales, présidents de structures d'action éducative, sociale,
culturelle, touristique, sportive ou de loisir.
C'est
dès le mois de Juillet 2001 que j'ai préparé ce voyage,
essentiellement grâce à des contacts avec des universités
hispaniques et lusitaniennes qui m'ont permis de prospecter en
Amérique latine pour la présentation directe du colloque.
Il
n'est pas possible de dire que ce panel de contacts soit
représentatif de l'activité sociale et culturelle que le colloque
envisage d'aborder : il y a sûrement des zones inexplorées, des
universités prestigieuses oubliées, d'autant plus que les contacts
ont été quasiment concentrés dans les capitales de chaque pays.
Il
existe aussi des chercheurs connus et reconnus que je n'ai pu
rencontrer, car ils étaient sur le terrain, en province ou en
déplacement à l'étranger (et je n'oublie pas les vacances de
l'hémisphère sud, ni l'agitation politique et sociale qui mobilise
des universitaires, par exemple la grève de plusieurs mois dans les
universités du Brésil qui a provoqué un chamboulement du
calendrier). A l'inverse j'ai pu joindre et converser avec nombre de
correspondants qui n'étaient pas prévus dans mon programme de
visites.
Au
total, l'information sur le colloque sera convenablement diffusée,
me semble-t il, car elle sera répercutée par des têtes de réseau
vers des milliers d'adresses emails pertinentes. De plus articles,
messages, courriers m'ont été proposés dans revues, sites et
bulletins divers.
La
partie technique du colloque (organisation et communication), sera
assurée par une agence professionnelle (3 ont été contactées). Des
budgets prévisionnels ont été établis, inclus dans la partie
présentée par l'IUT, en prévision du projet de contrat quadriennal
discuté au sein de Bordeaux 3. Les bases sont fixées à 400
participants au maximum, avec 20 invités en lien avec le conseil
scientifique et les communicants lointains retenus.
Outre
l'IUT et l'Université de Bordeaux 3, contact sera établi
ultérieurement avec les directions concernées par le projet au sein
des Ministères de la Jeunesse, de l'Education et de la Recherche,
des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité, des Sports,
de la Culture et de la Communication, de l'Intérieur, de la Ville et
de la Rénovation urbaine, des Affaires étrangères, du Secrétariat
d'Etat à la lutte contre la pauvreté et l' exclusion, du Secrétariat
d'Etat au Tourisme,de l'INJEP (Institut National de la Jeunesse et
de l'Education Populaire), de l'UNESCO, des commissions européennes
et bien sûr à la région, à la ville de Bordeaux. La Maison
Internationale est déjà prévenue et j'ai dialogué avec le
Vice-Président Lopez.
Je me
tiens à votre disposition, Monsieur le Président, pour tout autre
renseignement complémentaire. Veuillez accepter l'expression de mes
salutations distinguées.
Jean-Claude GILLET,
Professeur
au département
Carrières Sociales de
l'IUT Michel de Montaigne.
1) C A
L E N D R I E R
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Juillet
2001
: début de la constitution du réseau de correspondants en Amérique
Latine.
Janvier
2002
: contacts avec des agences professionnelles à Bordeaux pour la
réalisation de la partie technique du colloque et budget
prévisionnel intégré dans la partie IUT du futur projet de contrat
quadriennal de l'Université Michel de Montaigne.
Février/
Août 2002
: congé thématique de recherche.
Août
2002
: constitution du conseil scientifique et du comité de
parrainage d'Universités
: demande de financement de billets
d'avion aux ambassades des pays concernés pour les membres du
conseil scientifique et les communicants éventuels (essentiellement
venus d'Amérique Latine).
: déplacement en Italie (Rome,Turin,
Milan).
Mi-septembre
2002
: appel officiel à communications .Titre définitif du colloque,
problématiques et thématiques.
: Demande de subventions
aux Ministères, institutions et collectivités.
: Création d'un site et
d'un email spécifique.
Février
2003
: constitution du planning et du calendrier journalier définitif du
colloque des 4/5/6 Novembre 2003.
Novembre
2003
: colloque.
2004
: Actes du colloque.
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3) LES
OBJECTIFS DU COLLOQUE
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31. Le
contexte de mondialisation néo-libérale tend, dans le champ des
activités culturelles, éducatives et sociales, à privilégier une
politique de marchandisation au détriment des services publics et de
l'accès aux droits.
Le
premier objectif du colloque international est, à travers
l'Atlantique, de produire une réflexion en commun, de réaliser un
état de la recherche sur les analyses effectuées,le rôle des acteurs
et la définition des stratégies dans les champs habituellement
désignés par les termes, notions et concepts d'animation, promotion
culturelle, travail social ou service social, développement
communautaire, démocratie participative, éducation populaire ou non
formelle, communication ou pédagogie sociale, andragologie, pratique
du temps libre, du loisir, du tourisme, du sport ou de la
récréation. Bien que différentes et ancrées dans des environnements
dissemblables, ces appellations désignent bien souvent des pratiques
assez proches ou tout au moins issues d'origines culturelles qui, à
partir de fondations idéologiques de proximité, se sont
historiquement diversifiées.
32. Du
point de vue scientifique, le deuxième objectif est de favoriser la
rencontre et la confrontation entre la production théorique (celle
des chercheurs et celle des acteurs) et la production de la société
qui est le résultat des interactions issues des pratiques sociales,
culturelles et éducatives (celle des acteurs et des chercheurs), en
incluant dans la démarche réflexive possible, outre les
problématiques précédentes :
- la
question des modèles de formation initiale et continue,
- celle
de la lutte contre les inégalités,
- celle
des effets des politiques publiques (certes désormais absentes dans
certains pays et présentes, mais affaiblies, dans d'autres) et de la
décentralisation,
- celle
du rapport entre bénévolat, volontariat et professionnalisation,
- celle
du rapport entre les cultures qui constituent les différentes
symboliques d'interprétation du monde.
33.
Constituer un réseau de chercheurs, d'enseignants, de praticiens,
issus essentiellement d'une culture latine, quelle soit francophone,
italienne, hispanique ou lusitanienne (tout au moins dans un premier
temps). Une culture commune (parfois mêlée à une histoire
malheureuse et à une économie de dépendance) peut faciliter
l'élaboration d'un dialogue entre l'Europe et l'Amérique (même si
des étapes ultérieures peuvent ouvrir d'autres horizons), dans des
formes à définir.
34.
Permettre l'ouverture de deux ou trois programmes Alpha (trois
universités européennes et deux universités latino-américaines),
prolongeant ainsi l'initiative du premier colloque.
35.
Favoriser le caractère tournant du colloque dont la deuxième édition
pourrait, en 2005, se réaliser en Amérique Latine.
ANNEXES
: ETAT DU RESEAU PAR PAYS
(Par
ordre chronologique)
Réunions
avec :
-
11 personnes à l'Université Catholique Andrès Bello, autour de la
coordinatrice de la sociologie, à l'école de sciences sociales,
responsable aussi de l'école de travail social : responsable de
formation pour la santé, professeur au collège universitaire de
Caracas, la coordinatrice des stages, la responsable des projets
communautaires, la doyenne de la faculté des Humanités et de
l'Education, le doyen de la Faculté des sciences économiques et
sociales, une sociologue et une psychologue, un responsable d'un
groupe de théâtre, un prêtre responsable d'activités volontaires
dans un quartier populaire).
-
des salariés de l'organisation Fundarte (Fondation pour la Culture
et les Arts) à la mairie de Caracas : 1 designer, 6 promoteurs
culturels, un sociologue, un politologue, un coordonnateur de
projets, une licenciée en arts.
Rencontres
:
-
de l'attaché de coopération de l'ambassade de France.
-
d'une assistante de service social travaillant dans une
organisation d'un quartier populaire (CEFIP) sur l'insertion
professionnelle de jeunes et d'un sociologue de la même
organisation.
-
d'un professeur de l'Ecole des Beaux-arts de l'Université Centrale
de Caracas.
Contact
avec le directeur de l'Ecole de Travail Social de l'Université
Centrale de Caracas.
Réunions
avec :
-
les représentantes de 3 écoles de Travail Social (dont la doyenne de
la faculté de travail Social de l'Université de la Salle à Bogota,
la coordinatrice académique au grand Collège de l'Université de
Cundinamarca - secteur Travail Social - et la Doyenne de la Faculté
des Lettres et des Sciences Humaines de l'Universidad Externado de
Colombia à Bogota).
-
3 enseignants-chercheurs de l'Universidad Externado de Colombia sur
la mise en œuvre d'un programme de formation de 1000 médiateurs
locaux.
-
des représentants du CEPALC (Centre Populaire de Communication pour
l'Amérique Latine), la codirectrice et son collègue, permanents de
cette ONG.
-
3 permanents de la FICONPAZ (Fondation/Institut de construction de
la Paix).
-
la directrice générale de l'Institut pour la culture et le tourisme
de Bogota et la sous-directrice chargée de la promotion des arts.
Rencontres
avec :
-
la Doyenne de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de
l'Université externado de Colombie à Bogota. Sociologue, elle est
responsable du laboratoire appelé Centre de recherches sur la
Dynamique sociale.
-
un architecte, chercheur au même laboratoire et inséré en même temps
dans un laboratoire de la Maison des Suds à Talence.
-
l'attaché de coopération à l'ambassade de France.
-
un médecin, spécialiste de psychiatrie, chercheur au laboratoire de
Dynamique sociale (cf. plus haut), à propos de la mise en place d'un
programme d'animation socioculturelle dans le secteur de la maladie
mentale à Cundinamarca.
-
le maire de Bogota.
Contacts
avec :
-
un responsable de l'Alliance Française à Manizales.
Enseignement
de 2
heures réalisé pour 15 étudiants de 3° année en travail social à l'Universidad
externado de Colombia.
Réunions
avec:
-
le président, la responsable des relations extérieures et
internationales et une enseignante à l'Université catholique de
l'Equateur (PUCE).
-
le Président de la Maison de la Culture et 2 responsables chargés
d'une mission nationale de développement du livre et de la lecture
par l'animation.
-
une dizaine de spécialistes de la conservation et de la promotion du
patrimoine culturel, dont des universitaires de l'Université
catholique de Guayaquil, consultants aussi dans des ONG.
Rencontres
avec:
-
la directrice du secteur éducation et de l'école de travail social à
l'Université andine Simon Bolivar de Quito.
-
le vice-Ministre de la culture au Ministère de l'Education et de la
Culture.
-
la directrice de l'Ecole de Travail Social de l'Université
catholique de l'Equateur.
-
le second conseiller, chargé de la coopération et de l'action
culturelle à l'ambassade de France.
-
un responsable de l'OCLACC (Organisation catholique
latino-américaine et des Caraïbes de communication).
-
du chargé de presse et de communication ainsi que du chargé de
mission du bureau de l'UNESCO à Quito, lequel a organisé mon séjour
dans cette capitale.
-
du directeur de l'Ecole de Travail Social et d'Animation Sociale de
l'Université Centrale de l'Equateur.
Réunion
avec 3
enseignantes de la Faculté de Travail Social de la Pontificia
Université catholique du Pérou.
Rencontres
avec :
-
la doyenne de la même Faculté de Travail Social.
-
le conseiller culturel et de coopération, et l'attaché de
coopération universitaire de l'ambassade de France à Lima.
Contacts
avec :
-
2 enseignants de sciences de la communication de l'Université de
Lima.
-
un enseignant en maîtrise de gestion sociale de la Pontificia
Université catholique de Lima.
-
la directrice de l'Ecole de Travail Social à la Faculté de sciences
sociales de l'Université Mayor de San Marcos.
Réunions
avec :
-
une quinzaine de responsables (intellectuels, enseignants, artistes)
militant pour la recherche de disparus sous la dictature de
Pinochet, au siège de l'Union de Ecrivains. Ce collectif d'Art
s'intitule "Ces histoires que nous pouvons raconter".
-
une quinzaine de responsables de services de la sous-division de la
culture au Ministère de l'Education.
Rencontres
avec :
-
une sociologue, puis la directrice de l'Ecole de Sociologie et enfin
la responsable de l'Ecole de Travail Social de l'Université ARCIS
(Arts et sciences Sociales).
-
le recteur académique de l'Institut ARCOS (Arts et communication
sociale).
-
la directrice de l'Ecole de Travail Social de l'Université
Académique de l'Humanisme Chrétien.
-
le recteur de l'Université Bolivariana.
-
le chef du département "Arts scéniques" à la division de la Culture
du Ministère de l'Education.
-
la sous-directrice des bibliothèques publiques à la direction des
Bibliothèques, archives et musées (Ministère de l'Education).
-
le directeur du département de français de l'Université
Métropolitaine de Sciences de l'Education.
-
le directeur pédagogique de l'Institut culturel franco-chilien
(émanation de l'ambassade de France). Puis de son assistante chargée
de presse ; enfin de la responsable documentaliste.
-
du coordinateur national du département du sport et du temps libre
scolaire au Ministère de l'Education.
Réunion
avec :
-
le doyen de la Faculté des Sciences sociales de l'Université de
Buenos-Aires et la directrice de la carrière de Travail Social de l'UBA.
Rencontres
avec :
-
l'ambassadeur de l'Union Européenne à Buenos-Aires.
-
le secrétaire académique de la carrière des sciences de la
communication à la Faculté des sciences sociales de L'UBA.
-
le coordinateur du secteur culturel du laboratoire de recherches "
Gino Germani".
-
un professionnel du temps libre, responsable de "l'Institution
publique du temps libre " qui met en place une formation publique.
Cette institution est hébergée par la Municipalité de Buenos-Aires.
-
le conseiller de coopération et d'action culturelle à l'ambassade de
France.
-
le conseiller pour les affaires sociales de l'ambassade de France.
-
une enseignante à l'Institut d'enseignement supérieur en Langues
vivantes.
-
une sociologue de l'UBA.
Contacts
avec :
-
un professeur de l'Université du sud à Bahia Blanca, directeur du
département de géographie.
-
un enseignant à l'Institut du professorat d'Education Physique de
Cordoba, vice-président d'une association de salariés dans le
secteur du temps libre.
-
un professionnel dans le secteur du temps libre.
-
un professionnel de l'Institut du professorat d'Education Physique
de Cordoba, salarié dans une bibliothèque populaire et intervenant
dans des "villas miserias" (équivalent de nos bidonvilles).
-
la Fondation Baruch Spinoza à Cordoba qui fait de la formation de
techniciens du temps libre et des loisirs.
Rencontres
avec :
-
le directeur du centre latino-américain du loisir et du temps libre
: "Recreàndonos"
-
2 éducateurs sociaux
-
l'attaché scientifique et de coopération de l'ambassade de France.
-
le directeur de l'INAME (équivalent de la PJJ et de la Sauvegarde de
l'Enfance et de l'Adolescence mélangés).
-
le chef du département de Travail Social au Département de
sociologie, faculté des sciences sociales, Université de Montevideo.
-
le responsable de l'Institut de formation à l'animation de
l'Association Chrétienne des Jeunes (YMCA).
Contacts
avec :
-
plusieurs responsables de services de la mairie de Montevideo
(départements de la culture, de la commission " Montevidéo ville
éducative", de la commission jeunesse, etc.).
- un professeur de littérature d'un lycée de Montevideo.
SAO
PAOLO
Réunion
avec
l'équipe de recherche sur les mouvements sociaux de la Pontificia
Université catholique de Sao Paolo, à savoir 13 enseignantes-
chercheurs de l'Ecole de Service Social, dont 4 doctorantes.
Rencontres
avec :
- un
enseignant de la Faculté de communication, sociologue et animateur
d'une association de clowns intervenant dans les favelas, les
hôpitaux, etc.
- 2
responsables de l'habitat social à la Mairie de Sao Paolo.
- le
directeur régional du SESC, très importante structure
socioculturelle, voire la plus importante de la ville.
- la
coordinatrice de l'insertion sociale à la mairie de San Andre
(commune de l'agglomération de Sao Paolo).
Contact
avec
l'attaché du service de coopération et d'action culturelle de
l'ambassade de France.
RIO DE
JANEIRO
Réunions
avec :
-
l'équipe (5 enseignants et intervenants sociaux) dont des membres du
laboratoire "recherches et développement " à l'Université Veiga de
Almeida.
-
plusieurs animateurs et jeunes dans 3 favelas de Rio autour
d’associations dont une "Afroreggae" (activités de danse, musique,
chant, théâtre) et une autre dans une réseau "cirques", initié par
le cirque du Soleil à Montréal.
-
plusieurs animateurs et jeunes dans une école de l'agglomération de
Rio.
-
avec plusieurs animateurs et jeunes dans une favela de
l'agglomération de Rio .
Rencontres
avec :
-
une assistante sociale enseignante-chercheur , coordinatrice de
plusieurs programmes de politiques publiques en matière de santé (à
Rio et dans d'autres villes).
-
une sociologue, professeur à l'Université Fédérale de Rio,
travaillant dans un laboratoire de recherche sur "Favelas et
citoyenneté ", dépendant de l'Ecole de Service Social, avec une
autre collègue.
-
un Docteur en Education Physique, spécialiste du loisir, professeur
à l'Université Fédérale de Rio, et animateur de plusieurs actions de
prévention de rue (prostitution, drogues, etc.).
-
un professeur honoraire de sociologie de l'éducation à l'Université
Fédérale de Fluminense.
-
une psychologue, intervenante en universités et sur des programmes
d'action dans des favelas.
-
la coordinatrice des "Programmes jeunes pour la paix" de Rio.
-
l'attaché culturel, scientifique et de coopération du consulat de
France à Rio.
-
Une ancienne étudiante du département Carrières Sociales, réalisant
un stage de DESS au Consulat de France.
-
un professeur adjoint d'éducation physique à l'Université Fédérale
Fluminense. Titulaire d'un DEA de sociologie de l'Université de
Rennes.
Contacts
avec :
-
une enseignante-chercheur, présidente d'une association de post-graduados
à Rio.
-
la vice-présidente d'une association-fondation qui travaille sur
l'animation culturelle.
BELEM
Rencontres
avec :
-
une assistante sociale, responsable d'un projet de développement
local, d'aménagement et de rénovation d'une favela (chercheur dans
un laboratoire de l'Université du Para à Belem).
- une
architecte qui travaille sur le programme précédent pour la mairie.
-
2 enseignantes-chercheurs de l'Université du Para.
Contacts
avec une
sociologue, chercheuse à l'Université Fédérale du Para.
AUTRE
Contact
avec un professionnel du loisir à Goïana (près de Brasilia).
Rencontres
avec :
-
le responsable de la Formation continue de l'Université de Cayenne,
enseignant-chercheur et de son épouse, docteur ès lettres, militante
associative
et élue
municipale à la culture d'une commune de l'agglomération de Cayenne.
-
du conseiller de jeunesse et d'éducation populaire de la Direction
Régionale et départementale de la Jeunesse et des Sports.
Contact
avec une
responsable de l'association socioculturelle "Pirouette-Cacahouète"
de Cayenne.
RAPPEL:
les contacts avec élus territoriaux, services déconcentrés et milieu
associatif sont nombreux en Guyane, compte tenu de la formation
"Animation" que le département Carrières Sociales a mis en place
avec l'Université de Cayenne depuis 2 ans maintenant.
Contact
avec un anthropologue à Pointe- à- Pitre, directeur Régional de l'URIOPSS.
Rencontres
avec :
-
un professeur au Département de Travail Social de l'UQAM (Université
du Québec à Montréal).
-
3 enseignants-chercheurs du Département de Sociologie de l'UQAM,
intervenants au Module Animation et Recherche Culturelle (ARC).
-
du vice doyen de la Faculté des Sciences de l'UQAM.
-
du directeur des cycles supérieurs au Département de Sociologie.
-
de l'attaché culturel du Consulat Général de France au Québec.
Une
rencontre est prévue en Août 2002 avec un professeur de l'Ecole de
Service Social de l'Université de Laval.
Des
contacts sont prévus par J.-P. Augustin lors de son voyage à la même
période au Québec.
Rencontres
avec :
-
un sociologue équatorien, représentant de l'UNESCO, directeur du
bureau régional pour les sciences sociales de cette organisation
dont le siège est à Mexico et qui communique avec toute l'Amérique
latine et les Caraïbes.
-
l'attaché de coopération universitaire et de recherche et son
adjointe à l'ambassade de France.
-
le directeur du laboratoire de recherche CEMCA (Centre d'Etudes
Mexicaines et centre-américaines), qui dépend de l'ambassade et
regroupe une dizaine de chercheurs de différentes disciplines.
Contacts
avec :
-
un membre de la direction chargé des relations bilatérales à l'UNAM
(Université Nationale de Mexico).
-
le co-directeur du Centre d'Etudes sur l'Intégration Européenne à
Mexico (ITAM).
-
un professeur de l'UAM (Université Autonome Métropolitaine).
-
un sociologue du FLACSO, laboratoire de recherches.
-
le directeur et le responsable du secteur relations internationales
du CIESAS (centre de recherche en sociologie).
-
un sociologue, coordinateur académique au Centre d'Etudes
Sociologiques du Collège de Mexico.
-
un sociologue de l'Université Métropolitaine de Iztapalapa.
-
un professeur d'éducation physique, spécialiste du jeu et de la
récréation.
Réunion
avec 14 personnes : enseignants-chercheurs (à l'Université San
Carlos de Guatemala, au Centre de recherches régionales de
Mesoamérica -CIRMA, à l'Université Rafael Landuar), promoteurs
culturels, responsables d'ONG (INTRAPAZ, Alliance contre l'impunité,
SEDEM, etc.), responsable du programme des volontaires des Nations
Unies et du Secrétariat de la Paix auprès de la Présidence du
Guatemala.
Rencontres
avec :
-
le chargé du service culturel, scientifique et de coopération
technique de l'ambassade de France.
-
un anthropologue de l'Université San Carlos de Guatemala.
Contacts
avec :
-
rencontre avec une directrice de recherches au CIRMA (dans le champ
socioculturel).
-
un chercheur du CIRMA spécialiste en Arts et exposition.
Réunion
au Centre de Promotion de la Culture qui dépend du Ministère de la
culture et prépare à des diplômes niveau 3° cycle, avec la
directrice du Centre, une vice-directrice, ainsi que 3 intervenants.
Rencontres
avec :
-
la vice-rectrice de l'Université de La Havane, chargée de
l'organisation de formations de Travail Social.
-
l'attaché de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de
France.
Contacts
avec un
autre vice-directeur du Centre de Promotion de la Culture.
Rencontres
avec:
-
un enseignant-chercheur en " Haague Hogeschool" à Amsterdam,
équivalent des polytechnics anglais (enseignement supérieur mais non
universitaire). Proche du Travail Social et de l'action
communautaire.
-
une française doctorante en sociologie (à l'Université de Grenoble),
enseignante à l'Université Erasmus de Rotterdam (Faculté de
philosophie: chaire sur l'action sociale communautaire).
Contact
avec l'attaché de coopération scientifique à l'ambassade de France.
Rencontres
avec :
-
un professeur émérite de la Faculté de Psychologie et de Pédagogie
de l'Université de Gand, membre du bureau directeur de l'Association
mondiale du loisir et de la récréation.
-
le directeur du Forum de lutte contre la pauvreté à Bruxelles
regroupant plus de 150 associations et services.
-
un chargé de mission du Ministère de la Communauté française de
Bruxelles qui produit la revue "Culture et Citoyenneté ".
-
le directeur de l'Association des Centres Culturels de Belgique.
-
l'attachée scientifique du service de coopération et d'action
culturelle de l'ambassade de France à Bruxelles.
(relations établies avant le congé de recherche)
Rencontre
de plusieurs enseignants et d'une quinzaine d'étudiants et de
professionnels de l'animation en 2000, à l'école de Travail Social
de Lucerne (avec une formation à l'animation socioculturelle comme
cela est le cas dans d'autres écoles situées dans d'autres cantons).
(relations établies avant le congé de recherche)
Rencontres
avec :
-
un professeur du département de théorie et d'histoire de
l'éducation: Faculté d'éducation à l'Université Complutense de
Madrid.
-
un professeur de sciences de l'éducation à l'Université Pontificia
de Salamanque.
-
le directeur du département de sociologie, science politique et
philosophie de l'Université de Vigo.
-
un professeur du département de pédagogie systémique et sociale de
l'Université Autonome de Barcelone.
-
un professeur en Travail Social, directrice de l'Institut de
sciences sociales appliquées à Cuenca, Université de Castilla la
Mancha.
-
un professeur, vice-doyen de la Faculté de philosophie et des
sciences de l'éducation de l'Université de Valence.
Contacts
avec :
-
2 enseignantes de l'Université Deusto à Saint-Sébastien, Faculté des
Humanités.
-
le recteur de l'Université de Vigo.
-
un professeur de l'Université de Séville, Département théorie et
histoire de l'éducation et de pédagogie sociale.
(relations
établies avant le congé de recherche)
Rencontres
avec :
-
un professeur de l'Ecole Supérieure d'éducation de l'Université
d'Algarve.
-
un professeur en sciences de l'éducation à l'UTAD (Université du
Tras os Montes et Alto Douro), pôle universitaire de Chaves.
-
un responsable de la Fédération portugaise des collectivités
territoriales (secteur culture et récréation), dont le siège est à
Lisbonne.
-
un professeur du Département des expressions artistiques, motricité,
animation et de leurs didactiques, à l'Ecole supérieure d'éducation
de Portalegre (Institut Polytechnique).
-
une professeur de l'Institut Polytechnique de Beja à l'Ecole
supérieure d'éducation.
-
le président du conseil de direction de l'Ecole supérieure
d'éducation de Santarem et de plusieurs enseignants.
-
plusieurs professeurs de l' UTAD, pôle de Vilareal.
(contacts prévus en Août/septembre 2002 )
Rencontres
avec :
-
avec le directeur de la revue Animazione Sociale à Turin.
-
des universitaires à Rome et à Milan.
-
des formateurs d'animateurs à Milan.
-
un psychologue communautaire. |